La rencontre Accuphase / Vaudaine

Le premier élément marquant face à une électronique ACCUPHASE est le niveau de finitions tout bonnement surréel qui en exsude. Chaque produit est fabriqué à la main avec amour et soin, rien n’est laissé au hasard. Chaque soudure est d’une précision confinant à la folie, le circuit rayonne d’une élégance tranquille, bref ce sont de véritables œuvres d’art électroniques.

A l’écoute, une évidence aux accents familiers s’empare de l’auditeur ému. Nul besoin de démonstrativité ou d’emphase, l’aisance de ces ACCUPHASE est une force tranquille sûre de ses forces, n’ayant rien à prouver à personne.

On retrouve un son naturel avec un je-ne-sais-quoi de magique, les timbres sont fluides, soyeux et surtout justes. Le grave est d’une profondeur abyssale, dynamique et maîtrisé. Le medium d’un naturel déboussolant, holographique et d’une précision qui vous révèlera pleinement la personnalité propre de chaque instrument et de son interprète composant les arrangements d’un morceau. Le tout chapeauté par un aigu cristallin, sans la moindre touche d’agressivité et surtout d’une spatialisation vertigineuse.

Vous l’aurez compris, l’écoute ACCUPHASE est une expérience à part se dégustant avec gourmandise sur la durée.

Je n’ai jamais, et je pèse mes mots, fait l’expérience d’une telle durabilité !
Les amplis de puissance P-300 produits lors de la première année (1973, millésime très prisé par les collectionneurs) sont encore utilisés quotidiennement aujourd’hui sans montrer de signe de fatigue, ce après plus de cinquante ans de bons et loyaux services !

Un ACCUPHASE est le compagnon d’une vie, fidèle au poste envers et contre tout.

Déjà excellente avec ses propositions d’amplis intégrés, la marque révèle son plein potentiel à travers ses éléments d’amplification séparés. Un préampli associé à un bloc d’amplification stéréo ou, idéalement, deux blocs mono.

C’est simple, prenez tous les superlatifs associés à l’écoute d’un E5000 (classe AB) ou E800S (Classe A) - je vous laisse choisir votre camp dans cette guerre des classes - multipliez les par dix et vous serez toujours en deçà de la vérité. Fermez les yeux et laissez-vous transporter en plein cœur de la musique où l'émotion tutoie une justesse absolue et totale. C’est LA solution pour révéler le plein potentiel de vos enceintes.

Alors rendez-vous à notre auditorium ou nous nous ferons un plaisir de vous accueillir pour vous en faire la démonstration la plus irréfutable qui soit, celle (cruciale) de l’écoute.

Mais attention, vous cette expérience sensorielle est bouleversante et ne vous laissera pas indemne, en tout cas ça a été le cas pour l’ensemble de l’équipe HIFI VAUDAINE, pour laquelle il n’y a plus de retour en arrière possible.

Nous avons hâte de découvrir par quels biais ACCUPHASE redéfinira l’écoute hifi ultime avec ses futures créations !

Voici l'album coup de coeur partagé par David.

Camille Saint-Saëns se révèle être un virtuose : il donne son premier concert à onze ans et fait sensation avec le Troisième Concerto de Beethoven, et le Concerto no 15 K. 450 de Wolfgang Amadeus Mozart. Saint-Saëns écrit et joue même sa propre cadence pour le concerto de Mozart !

La Danse Macabre, opus 40, est un poème symphonique en sol mineur composé en 1874 par Camille Saint-Saëns d'après le poème d'Henri Cazalis Égalité-Fraternité, tiré des Heures sombres, quatrième partie de son recueil L'Illusion paru en 1875. 

Zig et zig et zig, la mort en cadence
Frappant une tombe avec son talon,
La mort à minuit joue un air de danse,
Zig et zig et zag, sur son violon.

Le vent d'hiver souffle, et la nuit est sombre,
Des gémissements sortent des tilleuls ;
Les squelettes blancs vont à travers l'ombre
Courant et sautant sous leurs grands linceuls,

Zig et zig et zig, chacun se trémousse,
On entend claquer les os des danseurs,
Un couple lascif s'assoit sur la mousse
Comme pour goûter d'anciennes douceurs.

Mais psit ! Tout à coup on quitte la ronde,
On se pousse, on fuit, le coq a chanté
Oh ! La belle nuit pour le pauvre monde !
Et vivent la mort et l'égalité !

Extrait du poème d'Henri Cazalis.

Alors qu'il rentre au conservatoire en 1848, pour y étudier l'orgue, Saint-Saëns est déjà un musicien de grande réputation en France.

Album en écoute streaming en 16-bit 44,1 kHz sur Qobuz Danse Macabre - Kyung Wha Chung - Royal Philharmonic Orchestra
Profitez en pour découvrir notre playlist HIFI VAUDAINE